Thème 2025
Ambiance sonore des terrasses
Les équipes sont invitées à concevoir et dessiner des terrasses de café ou de restaurant aux formes et materiaux originaux, conciliant esprit festif et calme des riverains.
Il s’agit de réaliser une vidéo (5 min max) autour d’une terrasse existante et d’en changer la forme en pensant à la fois à ses consommateurs et aux riverains. Le choix du lieu, une place publique existante, est à l'initiative des candidat.e.s.
Cécile Regnault et Gilles Paté, initiateurs et organisateurs du concours
Ambiances
sonores des terrasses
Le paysage sonore des villes comme celui des campagnes concerne autant la création d’environnements vivants qu’elle touche aux valeurs de santé publique. Que faire lorsque l’environnement sonore n’est pas au rendez-vous ? Lorsqu’une terrasse aux activités privées et festives déborde à l’extérieur et envahit l’espace sonore de la rue, risquant par là-même de nuire aux repos des habitants et par conséquent à la vie du quartier.
Or bien que la loi protège le citoyen au titre de sa santé (mentale et physique), les situations paradoxales augmentent. Comment concilier désir de fête, rencontres dans l’espace public et tranquillité nocturne des riverains ?
La gestion des terrasses et de leur impact sur l’environnement sonore est une problématique récurrente des quartiers. Les fenêtres donnant sur la rue sont les plus affectées. Face aux niveaux sonores hégémoniques et continus des transports, les éclats de voix, bruits de vaisselle ou musique émergent du bruit ambiant. Les seuils d’émergence réglementaire sont-ils applicables partout ?
La Covid a été un accélérateur : les restaurateurs et gérants de lieux festifs ont pu étendre facilement leurs espaces de terrasse sur les trottoirs ou plus largement en investissant des places de parking, générant par la même des sources potentielles de nuisances. Des associations se sont montées pour alerter de la dérive ; malgré les « polices du bruit » l’impuissance des pouvoirs publics fait face à la montée de situations insolubles.
Comment gérer ces nouvelles occupations de jour comme de nuit ? Qui est responsable de la bonne entente entre commerçants et voisinage ?
Certes des législations existent pour lutter contre les abus : les textes de droit civil sur la santé public, ceux du droit administratif (règle locale d’occupation de l’espace public à la belle saison), et enfin ceux du droit de l’environnement qui régulent les nuisances dues aux activités professionnelles. Or le respect d’une émergence maximum de 3 dB est un challenge souvent inatteignable. Mais pourquoi en arriver là ? Ne devrait-on pas agir avant que les conflits apparaissent ?
Pourtant, la majorité des grandes villes prennent des mesures préventives ; elles agissent à la source pour faciliter les négociations, pour réguler les émissions sur la responsabilisation des professionnels. Elles agissent aussi directement sur les habitants comme à Genève en embauchant des chuchoteurs ; elles préviennent les conflits d’usages en régulant les autorisations et leurs emplacements.
Ont-elles pensé à agir autrement en contrôlant mieux par exemple la propagation des ondes sonores et donc en agissant directement sur lecadre acoustique des rues, des places et des terrasses elles-mêmes ?
Aujourd’hui, les installateurs de terrasses pensent avant tout à la rapidité de montage et démontage, la réversibilité et l’économie des structures de terrasses très souvent ouvertes et légères. Tantôt heureux, tantôt catastrophique l’environnement sonore des terrasses est laissé au hasard des emplacements ; elle est bien souvent la conséquence plus ou moins heureuse d’autres préoccupations environnementales importantes (ombrage pour éviter les surchauffes, sécurité, recyclage, économie de matière, accessibilité …) mais alors qui pourrait être à même aujourd’hui de créer une ambiance sonore harmonieuse et équilibrée sur sa terrasse. L’acoustique architecturale des terrasses peut-elle restée un impensé des politiques urbaines ?
Le concours Place au son 2025 propose d’imaginer des terrasses phoniquement viables, ou l’on s’entende et où l’on puisse se parle sans élever la voix ; il incite à créer des équipes de concepteurs pour trouver un équilibre avec l’environnement sonore existant (circulation, éclats de voix, couverts, vaisselle, présence du vivant) et celui des activités humaines générées par l’arrivée des nouveaux usages des terrasses ; il s’agit de dessiner des dispositifs spatiaux originaux et de choisir des matériaux qui contiennent les ambiances sonores dans un périmètre acceptable ; de créer une rythmique perceptible entre des atmosphères diurnes distinctes des nocturnes ; de trouver des formes qui puissent réguler la propagation des sons, de réduire les niveaux sonores et contrer la « montée » des volumes sonores nocturnes jusqu’aux fenêtres ; de penser tant au confort des consommateurs qu’à celui des riverains.
Chaque équipe choisit un contexte sonore dont il fait une écoute critique ; puis il projette sur cette première trame sonore la création d’une terrasse en proposant par là-même une acoustique architecturale maitrisée. Car il ne s’agit pas de s’opposer aux ambiances existantes des bas d’immeubles mais bien d’intégrer les espaces privatifs aux vécus alentours du quartier. L’accent du concours est mis sur le vivre ensemble ; c’est en inventant des dispositifs alliant design acoustique et formes architecturales que l’on pourra créer des interfaces viables et esthétiques entre les riverains et les consommateurs plus occasionnels des terrasses. Le projet consiste en résumé à imaginer par le design des espaces de convivialité qui permettent à la fois de se retrouver pour passer un bon moment entre amis et de protéger les riverains des émergences sonores de la rue.
Le résumé de la démarche de Place au Son ici
Le paysage sonore des villes comme celui des campagnes concerne autant la création d’environnements vivants qu’elle touche aux valeurs de santé publique. Que faire lorsque l’environnement sonore n’est pas au rendez-vous ? Lorsqu’une terrasse aux activités privées et festives déborde à l’extérieur et envahit l’espace sonore de la rue, risquant par là-même de nuire aux repos des habitants et par conséquent à la vie du quartier.
Or bien que la loi protège le citoyen au titre de sa santé (mentale et physique), les situations paradoxales augmentent. Comment concilier désir de fête, rencontres dans l’espace public et tranquillité nocturne des riverains ?
La gestion des terrasses et de leur impact sur l’environnement sonore est une problématique récurrente des quartiers. Les fenêtres donnant sur la rue sont les plus affectées. Face aux niveaux sonores hégémoniques et continus des transports, les éclats de voix, bruits de vaisselle ou musique émergent du bruit ambiant. Les seuils d’émergence réglementaire sont-ils applicables partout ?
La Covid a été un accélérateur : les restaurateurs et gérants de lieux festifs ont pu étendre facilement leurs espaces de terrasse sur les trottoirs ou plus largement en investissant des places de parking, générant par la même des sources potentielles de nuisances. Des associations se sont montées pour alerter de la dérive ; malgré les « polices du bruit » l’impuissance des pouvoirs publics fait face à la montée de situations insolubles.
Comment gérer ces nouvelles occupations de jour comme de nuit ? Qui est responsable de la bonne entente entre commerçants et voisinage ?
Certes des législations existent pour lutter contre les abus : les textes de droit civil sur la santé public, ceux du droit administratif (règle locale d’occupation de l’espace public à la belle saison), et enfin ceux du droit de l’environnement qui régulent les nuisances dues aux activités professionnelles. Or le respect d’une émergence maximum de 3 dB est un challenge souvent inatteignable. Mais pourquoi en arriver là ? Ne devrait-on pas agir avant que les conflits apparaissent ?
Pourtant, la majorité des grandes villes prennent des mesures préventives ; elles agissent à la source pour faciliter les négociations, pour réguler les émissions sur la responsabilisation des professionnels. Elles agissent aussi directement sur les habitants comme à Genève en embauchant des chuchoteurs ; elles préviennent les conflits d’usages en régulant les autorisations et leurs emplacements.
Ont-elles pensé à agir autrement en contrôlant mieux par exemple la propagation des ondes sonores et donc en agissant directement sur lecadre acoustique des rues, des places et des terrasses elles-mêmes ?
Aujourd’hui, les installateurs de terrasses pensent avant tout à la rapidité de montage et démontage, la réversibilité et l’économie des structures de terrasses très souvent ouvertes et légères. Tantôt heureux, tantôt catastrophique l’environnement sonore des terrasses est laissé au hasard des emplacements ; elle est bien souvent la conséquence plus ou moins heureuse d’autres préoccupations environnementales importantes (ombrage pour éviter les surchauffes, sécurité, recyclage, économie de matière, accessibilité …) mais alors qui pourrait être à même aujourd’hui de créer une ambiance sonore harmonieuse et équilibrée sur sa terrasse. L’acoustique architecturale des terrasses peut-elle restée un impensé des politiques urbaines ?
Le concours Place au son 2025 propose d’imaginer des terrasses phoniquement viables, ou l’on s’entende et où l’on puisse se parle sans élever la voix ; il incite à créer des équipes de concepteurs pour trouver un équilibre avec l’environnement sonore existant (circulation, éclats de voix, couverts, vaisselle, présence du vivant) et celui des activités humaines générées par l’arrivée des nouveaux usages des terrasses ; il s’agit de dessiner des dispositifs spatiaux originaux et de choisir des matériaux qui contiennent les ambiances sonores dans un périmètre acceptable ; de créer une rythmique perceptible entre des atmosphères diurnes distinctes des nocturnes ; de trouver des formes qui puissent réguler la propagation des sons, de réduire les niveaux sonores et contrer la « montée » des volumes sonores nocturnes jusqu’aux fenêtres ; de penser tant au confort des consommateurs qu’à celui des riverains.
Chaque équipe choisit un contexte sonore dont il fait une écoute critique ; puis il projette sur cette première trame sonore la création d’une terrasse en proposant par là-même une acoustique architecturale maitrisée. Car il ne s’agit pas de s’opposer aux ambiances existantes des bas d’immeubles mais bien d’intégrer les espaces privatifs aux vécus alentours du quartier. L’accent du concours est mis sur le vivre ensemble ; c’est en inventant des dispositifs alliant design acoustique et formes architecturales que l’on pourra créer des interfaces viables et esthétiques entre les riverains et les consommateurs plus occasionnels des terrasses. Le projet consiste en résumé à imaginer par le design des espaces de convivialité qui permettent à la fois de se retrouver pour passer un bon moment entre amis et de protéger les riverains des émergences sonores de la rue.
Le résumé de la démarche de Place au Son ici
Concours ouvert aux étudiant.e.s inscrit.e.s dans l’enseignement supérieur (Grandes écoles et Universités) durant leur cursus et 3 ans après la fin de l’obtention de leur diplôme : architecture, urbanisme, paysage, géographie, design, arts, musique, théâtre, cinéma, ingénierie sont les principales disciplines visées ;
L’équipe est constituée a minima de deux étudiant.e.s issus des spécialités citées ci-dessus; elle désigne un mandataire qui sera l'interlocuteur privilégié avec les organisateurs du concours.
Un focus est porté dans cette édition sur le design sonore et l’acoustique. L'inscription au concours se fait par voie numérique par mail à l’adressse
concoursplaceauson@lasemaineduson.org
Le.a mandataire.rice envoie la fiche d’identité de l’équipe sous la forme d’un fichier pdf comprenant les copies des cartes étudiantes de tou.te.s les membres de l’équipe (NomPrénom du mandataire.pdf) et un mail de reference .
Lorsque la candidature de l’équipe est acceptée, l’organisateur attribue un numéro d’équipe garantissant l'anonymat.
L’équipe est constituée a minima de deux étudiant.e.s issus des spécialités citées ci-dessus; elle désigne un mandataire qui sera l'interlocuteur privilégié avec les organisateurs du concours.
Un focus est porté dans cette édition sur le design sonore et l’acoustique. L'inscription au concours se fait par voie numérique par mail à l’adressse
concoursplaceauson@lasemaineduson.org
Le.a mandataire.rice envoie la fiche d’identité de l’équipe sous la forme d’un fichier pdf comprenant les copies des cartes étudiantes de tou.te.s les membres de l’équipe (NomPrénom du mandataire.pdf) et un mail de reference .
Lorsque la candidature de l’équipe est acceptée, l’organisateur attribue un numéro d’équipe garantissant l'anonymat.
Le rendu du concours comprend 2 fichiers :
Fichier 1 audiovisuel de 5mn maximum : Réalisation du double portrait visuel (image par image) et sonore de la terrasse existante et de son amenagement . Ce portrait sonore est constitué d'une bande son témoin des marqueurs et effets sonores ; peut être une série d'images fixes mais aussi inclure dessins, cartes, coupes, images virtuelles, animation...
• La partie diagnostic exprime l'état de la place (au sens large) telle qu'elle existe aujourd’hui, montre les usages du lieu et fait un focus sur le point d’ouïe choisi. Elle donne à écouter l'effet sonore choisi.
• La partie projet met en scène le mobilier d’écoute. Elle inclut des représentations : au choix plans /coupes de l'objet design, images d’implantation et d’insertion dans le site incluant la présence des passants, auditeurs, schémas explicatifs du fonctionnement du mobilier qui pourra être acoustique (sans électrification) ou électro-acoustique (capteur, amplification, diffusion audio)…
La bande son rend compte de l’insertion acoustique du dispositif dans l’environnement sonore existant et met en son l’effet sonore recherché.
• Durée de la vidéo : 5 minutes maximum
• Format vidéo : .mov ou mp4, en full HD (1920x1080 pixels) ; audio du fichier (mono ou stéréo) sera de qualité 48 kHz, 24 bit.
• Intitulé de la vidéo : n°équipetitredelavideo.mov (exemple 23larepubliquesonnante.mov)
Fichier 2 : carnet de projet du point d'ouïe et de son mobilier d’écoute
A4 paysage en .pdf (50 Mo maxi)
• en page de garde : n° equipe + titre du projet
Important : garder l'anonymat du dossier
• une vue panoramique depuis le point d’ouïe, coordonnées GPS, commune, pays
• tous éléments graphiques permettant d’apprécier le design de l’objet mobilier : plan coupe élévation et photo de maquette et de comprendre sa mise en situation d’usages dans l’espace public
• un texte de 300 mots maximum précisant le titre du projet faisant le récit du point d’ouie et de son mobilier
• une image emblématique du projet de mobilier (300 dpi)
• intitulé fichier n°équipetitredelavideo.pdf (exemple : 23larepubliquesonnante.pdf)
Fichier 1 audiovisuel de 5mn maximum : Réalisation du double portrait visuel (image par image) et sonore de la terrasse existante et de son amenagement . Ce portrait sonore est constitué d'une bande son témoin des marqueurs et effets sonores ; peut être une série d'images fixes mais aussi inclure dessins, cartes, coupes, images virtuelles, animation...
• La partie diagnostic exprime l'état de la place (au sens large) telle qu'elle existe aujourd’hui, montre les usages du lieu et fait un focus sur le point d’ouïe choisi. Elle donne à écouter l'effet sonore choisi.
• La partie projet met en scène le mobilier d’écoute. Elle inclut des représentations : au choix plans /coupes de l'objet design, images d’implantation et d’insertion dans le site incluant la présence des passants, auditeurs, schémas explicatifs du fonctionnement du mobilier qui pourra être acoustique (sans électrification) ou électro-acoustique (capteur, amplification, diffusion audio)…
La bande son rend compte de l’insertion acoustique du dispositif dans l’environnement sonore existant et met en son l’effet sonore recherché.
• Durée de la vidéo : 5 minutes maximum
• Format vidéo : .mov ou mp4, en full HD (1920x1080 pixels) ; audio du fichier (mono ou stéréo) sera de qualité 48 kHz, 24 bit.
• Intitulé de la vidéo : n°équipetitredelavideo.mov (exemple 23larepubliquesonnante.mov)
Fichier 2 : carnet de projet du point d'ouïe et de son mobilier d’écoute
A4 paysage en .pdf (50 Mo maxi)
• en page de garde : n° equipe + titre du projet
Important : garder l'anonymat du dossier
• une vue panoramique depuis le point d’ouïe, coordonnées GPS, commune, pays
• tous éléments graphiques permettant d’apprécier le design de l’objet mobilier : plan coupe élévation et photo de maquette et de comprendre sa mise en situation d’usages dans l’espace public
• un texte de 300 mots maximum précisant le titre du projet faisant le récit du point d’ouie et de son mobilier
• une image emblématique du projet de mobilier (300 dpi)
• intitulé fichier n°équipetitredelavideo.pdf (exemple : 23larepubliquesonnante.pdf)
• Choix et caractérisation acoustique de la terrasse et ses effets sonores.
• Qualité de la réalisation vidéo
• Design du mobilier, inventivité et créativité du mécanisme d’écoute .
• Visibilité de la transdisciplinarité des équipes.
• Qualité de la réalisation vidéo
• Design du mobilier, inventivité et créativité du mécanisme d’écoute .
• Visibilité de la transdisciplinarité des équipes.
•juin 2024 : lancement du concours.
• 30 novembre 2024 : date limite d'inscription des équipes
• 10 décembre 2024 minuit : date limite de remises des propositions
• Décembre 2024 : annonce des résultats et réalisation de la cartographie des points d’ouie
• Janvier 2025: remise des prix à l’UNESCO pendant La semaine du son de l’Unesco en présence des lauréats et de tous les participants aux concours qui seront invités à participer aux échanges. lancement de l’édition 2025 sur le même thème
° De janvier 2025 à Septembre 2025 : Exposition des projets lauréats puis réalisation des prototypes et discussions avec les mairies.
• 30 novembre 2024 : date limite d'inscription des équipes
• 10 décembre 2024 minuit : date limite de remises des propositions
• Décembre 2024 : annonce des résultats et réalisation de la cartographie des points d’ouie
• Janvier 2025: remise des prix à l’UNESCO pendant La semaine du son de l’Unesco en présence des lauréats et de tous les participants aux concours qui seront invités à participer aux échanges. lancement de l’édition 2025 sur le même thème
° De janvier 2025 à Septembre 2025 : Exposition des projets lauréats puis réalisation des prototypes et discussions avec les mairies.
• Les 2 premiers lauréats seront invités à réaliser le prototype de leur projet de mobilier d’écoute.
• 3ème Prix : matériel audio
• 4ème Prix : matériel audio
Jury parmi les personnalités susnommées :
Michel Risse, compositeur, Décor Sonore Paris, organisateur de plusieurs points d'ouïe (Paris 13ème)
Frédéric Fradet, artiste sonore. Structure sonores Baschet. Saint Michel sur Orge
Nicolas Misdariis, chercheur en acoustique, IRCAM, Paris
Nadine Schütz, architecte, plasticienne sonore, Zurich.
Stéphane Mercier, acousticien, Paris
Comité scientifique : Cécile Regnault (conceptrice sonore, Professeure de l’ENSA de Lyon), Frédéric Fradet (acousticien, Directeur Structures sonores Baschet), Gilles Paté (vidéaste Maitre de conférence ENSA Versailles), Christian Hugonnet (ingénieur acousticien, président de La semaine du Son), Catherine Guastavino (psychoacousticienne, Professeure University Mc Gill, ca), Pascal Amphoux, architecte, Franck Faucheux (ingénieur-architecte, Eiffage immobilier)
Michel Risse, compositeur, Décor Sonore Paris, organisateur de plusieurs points d'ouïe (Paris 13ème)
Frédéric Fradet, artiste sonore. Structure sonores Baschet. Saint Michel sur Orge
Nicolas Misdariis, chercheur en acoustique, IRCAM, Paris
Nadine Schütz, architecte, plasticienne sonore, Zurich.
Stéphane Mercier, acousticien, Paris
Comité scientifique : Cécile Regnault (conceptrice sonore, Professeure de l’ENSA de Lyon), Frédéric Fradet (acousticien, Directeur Structures sonores Baschet), Gilles Paté (vidéaste Maitre de conférence ENSA Versailles), Christian Hugonnet (ingénieur acousticien, président de La semaine du Son), Catherine Guastavino (psychoacousticienne, Professeure University Mc Gill, ca), Pascal Amphoux, architecte, Franck Faucheux (ingénieur-architecte, Eiffage immobilier)
Tous les membres de l’équipe conservent les droits d’auteur du projet collectif. La soumission des projets dans le cadre du concours autorise la Semaine du Son et ses partenaires à utiliser les vidéos soumises pour toutes présentations publiques (soirée, exposition, publication). Les noms des membres de l’équipe seront mentionnés lors de toutes utilisations des vidéos, images et textes. Les auteurs restent propriétaires des composantes intellectuelles et artistiques de la vidéo. Les soumissions qui ne respectent pas les conditions seront disqualifiées.
Pour tous renseignements sur :
L’organisation de La Semaine du Son de l’UNESCO
52, rue René Boulanger, 75010 Paris
Tél.01.42.78.10.15
concoursplaceauson@lasemaineduson.org www.lasemaineduson.org
Les inscriptions / composition des équipes :
Gilles Paté, Maître de conférence, École Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles.
Le thème et les rendus :
Cécile Regnault, Professeure, École Nationale Supérieure d’Architecture de Lyon.
Le règlement complet du concours : ici
Initié par des membres du Comité « Pensez ensemble le son des villes », le concours est le fruit des actions de sensibilisation à l’environnement sonore de l’association de La semaine du son organisatrice et partenaire principal du concours.
Plusieurs partenaires académiques également soutiennent le projet :
- Ecole Nationale Supérieure d'architecture de Lyon
- Ecole Nationale Supérieure d'architecture de Versailles
- Ecole des Beaux Arts du Mans
- GIAC
- Société Française d’acoustique
- UMR Ambiances _ Cresson
- Réseaux Ambiances
- ENSATT
- Réseaux écoles d’acoustique
- Ircam
Plusieurs partenaires académiques également soutiennent le projet :
- Ecole Nationale Supérieure d'architecture de Lyon
- Ecole Nationale Supérieure d'architecture de Versailles
- Ecole des Beaux Arts du Mans
- GIAC
- Société Française d’acoustique
- UMR Ambiances _ Cresson
- Réseaux Ambiances
- ENSATT
- Réseaux écoles d’acoustique
- Ircam