3ème prix
Kendra Meyer
Thibault Noirot
École Nationale Supérieure d’Architecture de Lyon (ENSAL)
École Nationale Supérieure Louis Lumière (ENSLL)
Technopolis
Besançon, capitale du temps et berceau de l’horlogerie française, intègre au
Nord-Ouest du quartier de la Boucle la place de la Révolution, où
s’entrecroisent culture, restauration, activité commerciale et mobilités.
« Des gens discutent à table, un violoniste joue sur la place lorsqu’un vélo la traverse, suivi d’un tram bruyant. Tandis que les divers pas des passants se répètent, un marchand range au loin et une portière de camion se referme. Le violoniste reprend des notes du thème en pizzicato. […]
La place a été considérée à l’horizon 2068, en conservant ses usages, mais en imaginant leurs mutations possibles.
« […] Puis des légumes sont découpés. Des personnes sur la place cuisinent alors qu’une publicité tourne en boucle. Une annonce est diffusée, un Maglev arrive à la station République. Deux musiciens entament une improvisation intimiste qui s’harmonise avec l’ambiance urbaine. »
Les tracés circulaires présents au sol ont servi de support au projet, prennant en compte une évolution des modes de consommation avec l’instauration de circuits courts, qui génèrent des lieux où l’on peut acheter, cuisiner et consommer. Les transports en commun sont désormais autonome et l’évolution de leur parcours est visible de manière interactive sur les lieux d’attente. Au moyen de gestes, les utilisateurs peuvent se déplacer, zoomer sur des parties de la carte du tram affichées sur une interface graphique et musicale, contrôlant également le point d’écoute virtuel. Un dialogue s’instaure. En effet, l'interactivité était le maître mot de la culture du futur que du futur que l’on s’imaginait. On souhaitait des expériences sensorielles, sonores et inédites qui mobilisent et impliquent les individus. La place est ponctuée de bulles acoustiques qui s’apparentent à des pauses sonores dans les parcours urbains permettant de retrouver des ambiances sonores plus feutrées et s’extirper de l’agitation, à l’image de respirations dans la ville.
« Des gens discutent à table, un violoniste joue sur la place lorsqu’un vélo la traverse, suivi d’un tram bruyant. Tandis que les divers pas des passants se répètent, un marchand range au loin et une portière de camion se referme. Le violoniste reprend des notes du thème en pizzicato. […]
La place a été considérée à l’horizon 2068, en conservant ses usages, mais en imaginant leurs mutations possibles.
« […] Puis des légumes sont découpés. Des personnes sur la place cuisinent alors qu’une publicité tourne en boucle. Une annonce est diffusée, un Maglev arrive à la station République. Deux musiciens entament une improvisation intimiste qui s’harmonise avec l’ambiance urbaine. »
Les tracés circulaires présents au sol ont servi de support au projet, prennant en compte une évolution des modes de consommation avec l’instauration de circuits courts, qui génèrent des lieux où l’on peut acheter, cuisiner et consommer. Les transports en commun sont désormais autonome et l’évolution de leur parcours est visible de manière interactive sur les lieux d’attente. Au moyen de gestes, les utilisateurs peuvent se déplacer, zoomer sur des parties de la carte du tram affichées sur une interface graphique et musicale, contrôlant également le point d’écoute virtuel. Un dialogue s’instaure. En effet, l'interactivité était le maître mot de la culture du futur que du futur que l’on s’imaginait. On souhaitait des expériences sensorielles, sonores et inédites qui mobilisent et impliquent les individus. La place est ponctuée de bulles acoustiques qui s’apparentent à des pauses sonores dans les parcours urbains permettant de retrouver des ambiances sonores plus feutrées et s’extirper de l’agitation, à l’image de respirations dans la ville.